Bonjour à tous,
2 partenaires pour nous accompagner cette semaine : Hélène Jacob et Yucca.
Hélène Jacob vous offre 3 exemplaires des romans numériques suivants :
Les trois âges – 1 : La marque du Lynx de J.P. Taurel. Pour les deux gamins de Tende, petite ville de l’extrême sud-est de la France encore italienne en cette période d’après-guerre, rien n’est plus agréable que de chasser et de poser des pièges dans la Vallée des merveilles. Ils connaissent parfaitement les graffiti de ce vaste territoire et savent comme toute la population que les rochers ont été gravés par leurs ancêtres de l’âge du Bronze. Devenus adolescents, ils sont frappés par leur ressemblance, et au village on sourit dans leur dos, car on sait… Les Années folles battent leur plein sur la Riviera française, le champagne coule à flots sur la jetée-
promenade de la magnifique baie des Anges, et rien ne laisse présager que la riche famille Leonardi, estimée de tous, devra bientôt affronter ses démons du passé, malgré elle. Car ils vont être accablés par le Lynx, un maître-chanteur pervers qui, derrière son anonymat, les pourchasse inlassablement. Sauront-ils le démasquer et l’empêcher de laisser encore une fois sa marque, cette fois de façon fatale ? La Marque du Lynx, à la frontière du roman historique et de l’enquête, est le premier tome d’une saga familiale en trois volumes (Les Trois Âges) se déroulant tout au long du XXe siècle. Dans cette première partie de la trilogie, c’est toute l’époque de l’entre-deux-guerres qui nous est fidèlement révélée, servant d’écrin aux aventures d’une famille dont l’histoire se mêle intimement à l’Histoire.
L’Heure du Tigre de Marie-Pierre Bardou. On a le sens de la vengeance, dans la famille. Nolimé en fait l’expérience lorsqu’elle croise à nouveau la route de son père, vingt ans après le drame qui a détruit leurs vies. Et son père en a également goûté la saveur, lorsque sa fille l’a obligée, vingt années plus tôt, à assumer ses actes… ou ses non-
actes. Depuis, il n’y a eu aucun contact entre eux, et chacun a refait sa vie. Mais elle va vite se rendre compte que Philippe n’a aucune intention d’oublier. Changer de nom n’a pas suffi… Égoïste, arrogante et prête à rendre chaque coup, Nolimé n’est pourtant pas une victime facile à vivre. Mais elle a de qui tenir ! L’heure du Tigre, ce sont les dernières heures de la nuit, celles qui précèdent l’aube : les plus sombres bien sûr, mais aussi le moment où tout bascule, se tend vers la lumière du jour. De trois à cinq heures du matin, toutes les nuits, elle se réveille. Et attend. De la France au cœur de l’Afrique, père et fille vont jouer leur ballet de haine et de revanche, malgré la certitude que rien, jamais, ne pourra être réparé.
Vents froids d’Olivier Magnier. Bolivie, Andes royales. Deux romans noirs, dans les règles, désenchantées, du genre. À La Paz, un chauffeur de taxi tente de changer son destin en revenant là où son braqueur a déposé une valise. Plus au sud, un paysan veut comprendre la mort de son fils, et se heurte à l’implacable dureté des hommes. Mais la noirceur est renforcée par le Vent froid de l’Altiplano. À plus de 3 500 mètres d’altitude, il s’étend du lac Titicaca jusqu’aux aires désertiques du salar d’Uyuni, plus grand désert de sel au monde. Sur les rives de sa blancheur, la misère noire de certains hommes que le vent andin transperce et emporte. La Paz, plus haute capitale du monde, est une ville où l’on monte et descend. La Ville aux pentes dévale au pied des monts, dans un cratère où règne le manque d’oxygène. Les vies y sont interchangeables comme des plaques d’immatriculation. Olivier Magnier ne verse dans aucune complaisance, il observe la violence et sa présence sans fard. Sans explications non plus. Peu importe les chemins qui y ont mené les êtres ou les peuples : quel que soit le décor du roman noir, cette écriture est faite de la noirceur des sociétés humaines. Sauf qu’en Amérique du Sud, ce n’est pas seulement la société qui empoisonne les veines des hommes, c’est aussi l’accumulation dans l’histoire de l’humiliation et de la misère. Et même si la Bolivie a récemment retrouvé une fierté, c’est au nom des déshérités d’hier, d’aujourd’hui ou de demain, ici ou ailleurs, que ces histoires se sont écrites. Pourtant, la poésie de l’auteur réchauffe le banal tissage de la fatalité où quelques êtres tentent de ne pas mourir, face à l’immense indifférence de la nature. L’aveuglante blancheur du salar et les rues de La Paz ne sont pas des cartes postales à touristes, elles portent la singularité autant que la banalité des sorts, où qu’ils adviennent. Voici deux récits, boliviens jusqu’au cœur des mots, dont on sait pourtant ce qu’ils ne sont surtout pas : des polars « exotiques ».
Lucie de Serge Breysse. Jean se souvient. De l’Afrique mystérieuse où il vécut, ignorant de ses secrets et de ses cicatrices. D’une femme, manipulatrice, avec qui s’engage une relation ambiguë et dangereuse. De la mine où il s’égare, au cœur d’un conflit sans fin. De ce village au milieu des collines où il croise ces hommes et femmes désireux de partager leur combat. De ses doutes, quant au bien-fondé de ses actes sur cette terre en lutte. Il va plonger dans cette histoire et tenter d’en faire une aventure dont il serait le héros. Mais y parviendra-t-il ? Son récit, mélange de songes et de vérités, le rappelle à lui-même et le perd à la fois.
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Notre second partenaire est nouveau, il s’agit de Yucca éditions, une maison d’édition tarnaise sous format associatif avec pour objectif de développer l’édition localement, mais également les activités littéraires avec des ateliers, manifestations, conférences… sur les thèmes de la littérature et de l’édition. Ils vous offrent 2 ex papier et 3 numériques des Sphères de Kumari d’Anaïs La Porte qui sort dans 3 jours.
Au terme d’un voyage riche en événements, Line, Léonie, Maël et Owen parviennent au royaume de Nilgir. Accompagnée de ses trois amis, la princesse redécouvre la magie de son royaume, les Puissances. Elle n’a qu’une hâte : retrouver son père qu’elle n’a pas vu depuis dix ans. Mais une fois arrivés à Écrin, la capitale, tous quatre ne découvrent qu’une vaste esplanade vide. Où sont passés les habitants ?