Bonsoir,
Deux partenaires nous accompagnaient vendredi dernier: PAGE des libraires, ainsi que Le Texte Vivant , pour vous gâter deux fois plus, vous, les 1840 participants de cette nouvelle édition! Et que lisiez-vous? En dehors de la saga napolitaine d’Elena Ferrante et du dernier roman de Pierre Lemaître (Couleurs de l’incendie), nous trouvons La femme à la fenêtre d’A.J. Finn parmi les titres les plus cités, ainsi que, comme un écho de notre Club de Lecture, Dans la forêt de Jean Hegland et La vie secrète des arbres de Peter Wohlleben.
Mais VendrediLecture, c’est aussi l’occasion d’explorer, de découvrir des titres peu ou pas connus. Voici notre sélection à contre courant de la semaine:
- Le blues de La Harpie de Joe Meno: Après un braquage, Luce Lemay renverse accidentellement un bébé dans une poussette et le tue sur le coup. Il sort de prison trois ans plus tard. Revenu à La Harpie, sa ville natale, il trouve un emploi dans une station-service grâce à un ami rencontré en prison, Junior Breen. Tous deux sont bien décidés à rester dans le droit chemin jusqu’à ce que Luce tombe amoureux de la belle Charlene.
- Et si l’amour c’était aimer? de Fabcaro: Henri et Sandrine forment un couple heureux et épanoui à qui tout réussit, jusqu’à ce qu’un jour apparaisse Michel, un brun ténébreux, qui va faire chavirer le coeur de Sandrine. Ensemble ils vont vivre une idylle aussi brûlante qu’interdite. Mais la vie est-elle toujours du côté de l’amour ? La passion n’est-elle pas qu’une feuille morte emportée par une brise d’automne ? L’Arc-en-ciel des sentiments ne finit-il pas toujours par disparaître derrière le nuage de la réalité ? Une bande dessinée parodique.
- Le château d’Aldorfer de David Mata: Un château que la rumeur met au ban mais que, aux jours des solstices, des festivités réputent, où les comtes d’Aldorfer célèbrent les arts, la littérature, la musique, l’ivresse… Un château peut-être gothique, peut-être meaulnien, en tout cas éminemment romantique, dont la galerie de tableaux est traversée de mystères, en particulier le portrait d’une comtesse disparue… C’est la magie des lieux, qui fascine Lucas jusqu’à le hanter, où les identités comme les époques se confondent, tandis que les souvenirs ont les contours d’apparitions… C’est un conte dans un conte, où le temps devient sacré.
N’hésitez pas à cliquer sur les titres pour en savoir davantage sur notre sélection de la semaine. Et si vous souhaitez découvrir d’autres titres, alors consultez notre récapitulatif.
Bonne soirée et bonnes lectures!