ca y est le mois de juin a commencé, les températures montent et l’été pointe le bout de son nez (alors qu’on cherche encore le printemps !) ! Pour célébrer ça, les éditions JC Lattès vous offrent les immanquables de l’été !
Un club de vacances sur la côte basque. Quatre solitudes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Une histoire d’amitié et de rédemption.
Anglet, fin juillet. À la réception du Club Océan, Germain accueille comme chaque semaine les nouveaux arrivants, avec un mélange de plaisir et d’appréhension… Au milieu des habitués, certains clients goûtent pour la première fois aux « joies du club ». Chantal, qui débarque sans grand enthousiasme avec ses petits-enfants, Matthias, papa solo ayant cédé à l’appel de l’option « mini-club », et Fanny, venue en famille pour tenter de resserrer les liens, vont plonger dans ce huis clos aussi enjoué qu’inquiétant, dont la feuille de route est claire : faites connaissance et a-mu-sez-vous ! Mais qu’a-t-on à partager avec des êtres si différents ? Entre tournois de tir à l’arc, plaisirs du self et jeux apéro, ces vacanciers contraints de cohabiter parviendront-ils à rompre la glace malgré les secrets qu’ils ont emportés dans leurs bagages ? Peut-on réparer ce qui a été brisé ? Faut-il se lever à l’aube pour avoir un transat à la piscine ? Autant de questions à la fois profondes et légères qui portent ce roman solaire, plein d’humour, d’émotion et d’humanité.
Hélène, seize ans, vit au cœur de la Bretagne intérieure, dans un bourg oublié des touristes et cerné par les rochers. Entourée d’un père aimant, de son ami Yannick, ardent défenseur de la cause bretonne, et de sa grand-mère Alexine, diplômée de l’école des druides, elle se destine à devenir institutrice, comme sa mère. Mais l’arrivée de Marguerite, nouvelle professeure de français venue de Paris avec son mari, célèbre romancier, bouleverse leur existence à tous. Qu’est venue chercher Marguerite ici, enfoui sous le granit ? Quels drames anciens se murmurent dans la forêt ? Le temps d’un été, Hélène va découvrir le vertige du désir, la douleur de la perte et le piège qui se referme sur ceux qui dérangent. À la fois saga bretonne et roman d’apprentissage, Le Passage de l’été fait resurgir les secrets et les blessures de trois générations de femmes, de 1945 à nos jours. Il raconte la fin de l’enfance, entre émerveillement des premières fois, chagrin indélébile et promesse d’émancipation.
Il y a Jude, grande restauratrice à la retraite, Wendy, figure intellectuelle reconnue, et Adele, l’actrice qui ne décroche plus aucun rôle. Depuis la mort de Sylvie, la quatrième comparse, elles tentent coûte que coûte de soigner leur amitié, réalisant avec peine que leur pierre angulaire n’est plus là et que sans elle, l’équilibre du groupe est menacé. Le temps d’un week-end, les trois femmes se retrouvent pour vider la maison de Sylvie. Les frustrations et les souvenirs douloureux de chacune refont surface. Des caractères qui s’opposent, un chien vieillissant, des invités surprises, du vin qui coule à flot et le chagrin d’avoir perdu leur amie menace d’éteindre leur lien pour de bon.
Le week-end explore cette deuxième partie de la vie, le moment du bilan et la conscience du déclin à venir. Souvent drôle, et d’une finesse incroyable, Charlotte Wood célèbre la tendresse et l’amitié comme personne.
Florence Adler nage pour toujours de Rachel Beanland, traduit de l’anglais (États-Unis) par Laurence Kiefé.
Atlantic City, 1934. La fille cadette d’Esther et de Joseph Adler, Florence, rentre de l’université avec un seul objectif en tête : traverser la Manche à la nage cet été. Mais lors d’un entraînement, Florence se noie. Fannie, sa sœur aînée, à nouveau enceinte après avoir perdu un bébé, alitée à l’hôpital, doit éviter toute émotion forte. Pour protéger la seule fille qui lui reste, Esther décide de lui taire le drame.
Elle entraîne alors toute la famille dans un cercle de mensonges sans fin : Gussie, sept ans, empêchée de vivre le deuil de cette tante qu’elle adorait, Stuart, amoureux éperdu de Florence, ou encore Anna Epstein, une jeune fille hébergée par les Adler, qui, pour poursuivre ses études, a été contrainte de fuir son pays, comme de nombreux juifs d’Europe de l’Est à cette époque.
L’année la plus chaude de Maxime Bultot
Cet été-là, il n’a jamais fait aussi chaud. Alex s’apprête à fêter ses treize ans dans une relative indifférence, coincé entre une mère qui a enterré ses rêves et un père obnubilé par les simulations aériennes. Son seul horizon est la nationale qui longe son village. Heureusement, il y a Jérôme et Sophie, ses meilleurs amis, et les eaux turquoise des Caraïbes, l’ancienne carrière de la commune, un îlot de fraîcheur où ils passent leurs après-midi. Mais quand son père se retrouve au chômage, tout se met à dérailler. Sa mère a des envies d’évasion et Marko, la brute du quartier, décide de privatiser les Caraïbes. Alex ne va pas se laisser faire, il est déterminé à sauver cet été et cette famille.
Envoyez vos coordonnées à cadeaux@vendredilecture.com avant le 15 juin 2021.
***** Tirage au sort de la seconde chance *****
Stan Huet (FB) et @Charlene_scd vous allez recevoir un exemplaire de Haute Saison d’Adèle Bréau.
@Aupaysdesbooks vous allez recevoir L’année la plus chaude de Maxime Bultot.
Envoyez nous vos coordonnées à cadeaux@vendredilecture.com avant mercredi 23 juin en nous précisant sur quel réseau et avec quel pseudo vous avez été tiré au sort. Les lots non réclamés seront remis en jeu le jeudi 24 juin.