VendrediLecture est, depuis son commencement, un événement international. Chaque semaine, de nombreux francophones partagent leurs lectures et participent aux discussions. Parmi ces VendrediLecteurs, nous comptons un grand nombre de Québécois.
C’est donc avec une grande joie que nous vous annonçons le premier partenariat avec une maison d’édition québécoise, Les Éditeurs réunis. Pour une première, ce partenaire fait très fort et vous offre 17 romans au format numérique. Certains sont offerts en lot et d’autres à l’unité, ce qui fait 11 gagnants au total !
C’est parti pour la présentation des livres et pour un tour dans la Belle Province ! Commençons par les romans historiques.
Les domestiques de Berthier, Monique Turcotte (2 tomes)
Tome 1 – Premières amours 1766-1767
Quelles amours, quelles ambitions, quels rêves hantent les habitants de Berthier depuis l’arrivée du nouveau seigneur, le richissime James Cuthbert ? Une jeune femme du nom de Julia Scott remplit la charge de dame de compagnie auprès de la seigneuresse lady Catherine. Elevée dans un orphelinat de Boston, Julia n’a jamais vu un jeune homme poser les yeux sur elle. Sa rencontre avec Henry Cairns, frère aîné de Mrs Cuthbert, déclenchera en elle un flot de passions pour cet homme qu’elle compte bien ne partager avec aucune rivale. Arrive Mathilde, une fille des Iles venue prêter main-forte à Adèle, la cuisinière. Campagnarde illettrée, mais vaillante et débrouillarde, elle s’attire aussitôt les sarcasmes de la vindicative et arrogante Julia. Surtout lorsque celle-ci, avec une rage qui la consume, voit trop bien que le regard d’Henry s’arrête sur la belle et jeune Canadienne. Les foudres de Julia arriveront-elles à atteindre et détruire les premières amours qui embrasent le coeur d’Henry et de Mathilde ?
Tome 2 – Dans la tourmente 1773-1776
Pendant que le seigneur de Berthier multiplie les efforts pour faire fructifier ses terres, des rebelles des colonies américaines, avides de liberté, menacent les villages parsemés le long des rives du Saint-Laurent. Le capitaine Henry Cairns doit répondre à l’appel de l’armée britannique et part en guerre contre les insurgés, laissant Mathilde, sa fiancée, en charge de la gouvernance des enfants Cuthbert au manoir de Berthier. Leur promesse réciproque et les rêves de mariage qui les lient résisteront-ils aux manigances de Julia et aux aléas de la guerre ? La jeune domestique attendra-t-elle patiemment la fin du conflit ou acceptera-t-elle d’épouser Henry, pour le meilleur et pour le pire ? Pendant ce temps, Julia la dame de compagnie de la seigneuresse de Berthier, continue de s’accrocher au vain espoir de gagner le coeur de Henry. Elle voue toujours une haine profonde à la jeune Canadienne qui a envoûté, sans l’avoir cherché, le capitaine écossais. L’orpheline de Boston, qui ne ratera pas une occasion de comploter contre son encombrante rivale, réussira-t-elle à changer le cours du destin de Mathilde et Henry ? Connaîtra-t-elle d’autres galants qui la détourneront de son premier amour? Jusqu’où la mènera sa tragique dérive ?
Le grand magasin, Marylène Pion (3 tomes)
Tome 1 – La convoitise
Montréal, 1926. Olek, un débardeur d’origine ukrainienne de 23 ans, se donne corps et âme à son travail depuis son arrivée au Canada. Il se retrouve à la croisée des chemins lorsque quelques collègues, contrariés par l’ardeur qu’il met à la tâche, s’en prennent à lui, l’empêchant de reprendre son poste. Laurianne, 18 ans, se relève elle aussi d’une épreuve bien difficile : son père a laissé sa famille dans le deuil, mais également dans une situation financière précaire. C’est à Émilien, l’aîné, que revient désormais le rôle de pourvoyeur. Or, le jeune homme dilapide ses minces revenus à la taverne, au grand désarroi de sa soeur, déterminée à améliorer leur condition. Ayant tous deux déniché un emploi au prestigieux magasin Eaton, Laurianne et Olek, en quête de renouveau, se rencontreront et nourriront l’espoir d’une vie meilleure. En cette période d’après-guerre, le somptueux établissement offrira du rêve non seulement aux clients, mais aussi aux membres de son personnel…
Tome 2 – L’opulence
Montréal, 1927. Si le magasin Eaton étale son élégance dans ses rayons gorgés d’articles luxueux et ses vitrines à couper le souffle, ceux qui veillent sur cet empire doivent maintenir tant bien que mal leur façade impeccable… À la suite de la réapparition de son époux dans la métropole, la douce Caitlyn accepte de lui laisser une seconde chance. Dévasté, Olek respecte malgré tout cette décision et prend ses distances. En plus d’être tourmenté par cette cruelle séparation, le jeune immigrant craint désormais pour la sécurité de sa bien-aimée. Laurianne fait quant à elle son deuil de Finn, parti s’établir dans l’Ouest canadien, en s’investissant dans son travail avec une ardeur redoublée. Échaudée par le mariage d’Edward, Victorine a elle aussi décidé d’éviter les histoires sentimentales. Son nouveau poste au comptoir des vêtements pour hommes ne lui facilitera pas la tâche, mais elle est déterminée à ne pas s’en laisser imposer par le premier venu. À travers les épreuves, les collègues du grand magasin s’épaulent et se rapprochent. Cette amitié parviendra-t-elle à consoler ces coeurs désertés et à leur rendre leur opulence d’antan ?
Tome 3 – La chute
1928. Sept mois ont passé depuis la mort tragique de Caitlyn. Après avoir tout quitté pour oublier cette tragédie, Olek revient à Montréal. Mais reprendre le cours normal des choses se révèle plus ardu qu’il l’escomptait, car son départ abrupt pour l’Ouest canadien a laissé des traces. De son côté, Victorine entreprend avec enthousiasme ses fonctions dans le rayon de la haute couture. Ce travail lui permet de mettre temporairement de côté ses échecs amoureux, mais Greg Chase occupe toujours ses pensées. Terminera-t-elle ses jours vieille fille ? C’est là une voie qu’elle souhaite bien éviter. Grâce à son nouveau poste d’étalagiste, Laurianne renoue avec sa passion pour le dessin et se découvre un talent pour la peinture. La conceptrice de vitrines est elle-même admirée par de nombreux prétendants : Finn, de retour en ville, Jos Pageau, qui lui promet une vie confortable, et enfin Olek, qui tente de regagner sa confiance… À l’approche de Noël, des mains s’activent pour déployer les plus beaux trésors du grand magasin. Chaque soir, elles doivent toutefois pousser les portes de cet antre lumineux pour affronter le froid extérieur. Alors que la crise économique s’installe, le microcosme lustré du Eaton saura-t-il protéger ses fidèles employés ?
Le bonheur des autres, Richard Gougeon (3 tomes)
Tome 1 – Le destin de Mélina
Rivière-au-Renard, 1930. Les deux filles de Salomon O’Brien jalousent leur demi-soeur Mélina pour sa grâce et sa beauté. Elles rapportent ses moindres faux pas à leur père qui, profitant d’une demande du curé, l’arrache à son amoureux et l’expédie comme gouvernante chez un bourgeois de Montréal. Profondément épris d’elle, Antonin abandonne son métier de pêcheur afin d’aller la rejoindre dans la métropole. Après une période d’errance, le jeune homme achète une écurie et fonde sa petite entreprise dans le quartier populaire Hochelaga. En ce temps de sévère récession, le couple doit trimer dur : Mélina travaille dorénavant à soigner les chevaux en pension et s’occupe des livreurs tandis qu’Antonin s’affaire au creusage de caves et au déneigement des rues. Lorsqu’ils emménagent dans un plus grand logis, leur immeuble devient le théâtre d’affrontements entre deux familles de locataires, ce qui nuira inévitablement à leur quiétude. De plus, l’aguichante Corinne, ancienne vendeuse de charme, ne laisse pas Antonin indifférent. Alors que des jours sombres s’annoncent pour lui, la douce Mélina saura-t-elle lui pardonner ses frasques et surmonter les affres de son destin ?
Tome 2 – Le revenant
Montréal, 1940. Le coeur enseveli par un immense chagrin, Mélina se remet difficilement de la perte de son cher Antonin. La jeune veuve renonce à travailler à l’écurie, mais doit néanmoins subvenir aux besoins de ses filles. Débrouillarde, elle prend désormais le tramway chaque matin pour se rendre à un atelier de couture à la place d’Armes. La petite Angélina est confiée, le temps d’un été, à ses grands-parents O’Brien. Pendant son séjour à Rivière-au-Renard, un drame survient, entraînant la fuite de son cruel grand-père Salomon… Quelques années plus tard, Mélina retourne en Gaspésie et retrouve ses demi-soeurs pour démêler une pénible histoire d’héritage. Ses enfants ont grandi : Angélina abandonne ses études pour aider sa mère et permettre à sa soeur Bénédicte de poursuivre les siennes. Elle occupe plusieurs emplois, se laisse tenter par une carrière de mannequin puis devient couturière pour le prestigieux magasin Eaton. Par ailleurs, depuis des mois, Mélina demeure sans nouvelles de Médard, le charmant livreur de pain avec qui elle avait noué des liens avant la guerre. Est-il mort sur le champ de bataille ou est-ce plutôt l’éloignement qui aura éteint la flamme de leur amour ? Malgré tout, la vaillante mère de famille continue de se débattre avec le quotidien, pour le bonheur des autres…
Tome 3 – La ronde des prétendants
Montréal, 1945. Après des années, Mélina retrouve Médard, son amoureux. De retour de la guerre, le soldat blessé s’est replié dans les tranchées du silence, mais il sera bientôt impliqué dans une querelle explosive: lorsque l’ancien livreur de pain s’impose comme palefrenier, Barthélémy, le beau-frère de sa douce, quitte l’écurie en trombe. Ce dernier claque aussi la porte de son foyer, Rosita dilapidant tout leur argent. Quand il débarque chez Mélina avec sa valise, elle décide de le garder comme pensionnaire, mais cet arrangement ne manquera pas de nourrir les commérages. Peu à peu, la jeune veuve découvre qu’elle peut refaire sa vie sans oublier Antonin. Désirant plaire à Médard comme à son beau-frère, elle sera la cause d’affrontements entre les deux prétendants.
La maîtresse d’école, Ismène Toussaint (2 tomes)
Manitoba, 1928. Gabrielle atteint l’âge où elle doit choisir un métier pour gagner sa vie et satisfaire aux exigences de la modeste famille dont elle est la benjamine. Comme ses sœurs aînées, elle se tourne vers l’enseignement, bien que son talent artistique en voudrait autrement. Ainsi entame-t-elle sa formation à l’École normale anglaise, un milieu intimidant pour la jeune Canadienne française. Malgré sa bonne maîtrise de la langue de Shakespeare, son acharnement au travail, sa gentillesse contagieuse et son espièglerie, il lui faudra lutter pour s’attirer le respect de ses consœurs. Son diplôme en main, Gabrielle accepte des contrats dans différentes communautés, faisant la rencontre d’élèves qui occuperont pour toujours une place dans son cœur. Alors qu’elle apprend les rouages de la profession, elle se fait courtiser par des hommes, certains plus séduisants que d’autres, mais en cette époque de conventions strictes, la jeune femme fantasque devra parfois choisir entre l’amour, la raison et son désir d’indépendance. N’ayant par ailleurs jamais renoncé à son rêve de jeunesse qui ferait d’elle une écrivaine, celle qu’on connaîtra un jour dans divers cercles littéraires francophones se contente pour l’instant de tenir un journal intime. Bien souvent, elle se demandera si l’enseignement est réellement la vocation qui lui sied, à elle, Gabrielle Roy…
Tome 2 – La tentation du théâtre
Manitoba, 1929. Après la mystérieuse disparition de Jean, son soupirant, Gabrielle vit les émois d’un premier amour dans les bras de Roderick Beauchemin. Mais voilà qu’une tempête déferle sur la plaine. Confrontée à la solitude et à la dépression, la maîtresse d’école choisit alors de se dévouer entièrement à ses élèves. L’année suivante, à l’Institut Provencher pour garçons de Saint-Boniface, la vaillante enseignante se retrouve responsable d’enfants qui comprennent à peine l’anglais, et encore moins le français. Parmi les parents récemment arrivés en sol canadien, le teinturier russe Alexander Volkov complique sa lourde tâche. Un soir d’été, bouleversée par la représentation d’une pièce de Shakespeare, Gabrielle tombe de nouveau amoureuse : cette fois, du théâtre. Tout en continuant à écrire dans ses temps libres, elle rejoint une troupe de saltimbanques, puis peaufine son art au sein du sélect Cercle Racine. Cette vive passion indispose cependant l’inspecteur des écoles, qui expédie l’institutrice sur l’île de la Petite Poule d’Eau pour calmer ses ardeurs. Surnommée l’île du Diable, cette contrée isolée et presque déserte n’a rien de bien accueillant… Et si cet exil forcé lui réservait quelques surprises, de celles qui rendent les rêves enfin réalisables ?
Les filles de joie – Tome 1 : Le magnolia, Lise Antunes Simoes
Élevée dans un cocon bourgeois étouffant, Victoire est une jeune femme passionnée et pleine de vie qui rêve de liberté. Séduite par un gentil garçon, elle n’a que dix-sept ans lorsqu’elle tombe enceinte, ce qui lui vaut de se faire jeter à la rue. Désormais seule, reniée par tous ceux qu’elle aime, Victoire part s’installer dans la grande ville de Montréal où elle doit travailler pour gagner sa vie. À aucun moment elle ne songe à garder son enfant, qu’elle abandonne dès sa naissance, ne souhaitant pas rester fille-mère, rejetée par la société. Les mois passent et Victoire tient bon, mais le travail est dur, la misère est partout. Même si elle réduit son train de vie au minimum, les dettes s’accumulent de façon alarmante et la faim se fait sentir. Isolée, sans personne pour l’aider, la pauvre femme touche le fond. C’est alors que se présente une issue qui pourrait la tirer de cette situation infernale. On lui conseille d’aller frapper à la porte du Magnolia, une maison luxueuse tenue par une certaine Madame Angèle. La tenancière est toujours à la recherche de belles filles intelligentes et éduquées pour «tenir compagnie» aux riches messieurs qui viennent passer la soirée dans son établissement. Victoire doit se résoudre. Elle fera la putain, puisque c’est le seul moyen dont elle dispose pour rembourser ses dettes. Ici, au moins, elle est bien traitée, mange tous les jours et s’est même fait une alliée. Les clients ? Ils ne sont pas tous faciles, mais la jeune fille de joie s’adapte. Elle n’a pas vraiment le choix. Elle qui rêvait de liberté, la voilà enfermée dans une maison close…
Celle qui revient de loin, Monique Turcotte
Sherbrooke, 1945. Infirmière sur les champs de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale, Madeleine Genest retrouve sa famille au terme d’une absence de cinq ans. Entre son départ intrépide pour la France et ce retour doux-amer au pays, elle a pourtant l’impression que toute une existence s’est écoulée. Comment penser autrement ? Elle n’a ni le même idéalisme ni le même nom qu’au moment de son enrôlement. En effet, il y a quelques mois, Mado adoptait le patronyme O’Donelley en épousant un Irlandais aux yeux clairs et à la carrure d’athlète. Malheureusement, l’avion qu’il pilotait a été abattu à proximité de la côte atlantique, et, depuis, Greg manque à l’appel. Le regard rieur de la jeune mariée s’est éclipsé, lui aussi, mais le destin lui a réservé une belle surprise : elle porte l’enfant de son bien-aimé. Des souvenirs tendres et déchirants qu’elle a consignés dans son journal aux promesses séduisantes d’un avenir meilleur, Mado se forge tranquillement une nouvelle vie. Car fouiller son passé ouvre parfois la voie à un futur inattendu…
Les belles fermières, Marjolaine Bouchard
Saint-Jean-de-la-Miséricorde, 1940. Alors que le Canada s’apprête à s’engager dans la Seconde Guerre mondiale, les huit soeurs Larose se retrouvent seules sur la terre paternelle avec leur aïeule. Leur père étant décédé et leurs frères, partis au front, sans appui solide et disposant de ressources limitées, les filles tentent tant bien que mal de maintenir à flot la modeste ferme familiale. Le petit bataillon est mené par les trois aînées : Aline, Bergerette et Caroline. Débordantes de passion et d’ambition, les jeunes femmes veillent à la survie du clan tandis qu’elles connaissent leurs premiers émois amoureux et que leurs valeurs divergentes entrent en conflit. Un pied dans la tradition et l’autre dans une modernité qui tour à tour les enchante et les perturbe, elles se lancent dans leurs nouvelles fonctions avec acharnement. Épaulées par leu grand-mère, elles s’occupent de plus en plus adroitement de tout ce qui relève de la ferme laitière : soin des bêtes, récoltes, moissons… Après des années de dur labeur, les belles fermières pourront-elles enfin espérer récolter les fruits de leurs efforts ? L’éventuel retour de leurs frères sera-t-il bénéfique ou compromettra-t-il plutôt l’équilibre si chèrement acquis ?
Et après les romans historiques, 4 titres de chick-litt !
Je préfère qu’on soit amants, Sylvie G.
Jeune avocate irréprochable, Emmanuelle Sanders vient d’être nommée associée du prestigieux cabinet White & Harris. Au lendemain d’une soirée bien arrosée, elle apprend qu’une vidéo compromettante témoignant de ses ébats avec un serveur de dix-huit ans particulièrement obligeant s’est frayé un chemin jusqu’à… son patron ! Heureusement, M. Harris fait preuve de compassion et propose un marché à son employée désemparée : il taira l’épisode embarrassant à la condition qu’elle consulte un psychologue. Mais pas n’importe lequel. C’est ainsi que la belle avocate fera la connaissance du charmant Nick Brady, qui n’hésitera pas à utiliser des méthodes peu orthodoxes pour recueillir ses confidences. Entre le tourbillon de sa vie professionnelle et les montagnes russes de sa vie sentimentale, Emmanuelle arrivera-t-elle à enfin trouver le bonheur ? Que préfère-t-elle en réalité : un psy ou un ami, un amoureux ou un amant… ou toutes ces réponses ?
Je n’ai plus 20 ans… et alors ?, Isabelle Petit
Julie Caouette est une vraie passionnée de publicité. Avec un peu de créativité, elle arrive à réinventer la réalité et à redéfinir les perceptions des gens. À quarante ans, c’est toujours avec enthousiasme qu’elle travaille d’arrache-pied comme coordonnatrice de projets, sans pour autant sacrifier sa vie familiale. Mais bientôt un nouveau contrat l’amènera à sortir de sa zone de confort. Une campagne publicitaire pour une chaîne d’articles de sport la conduira à mille lieues de son mari et de ses trois enfants, où elle pourra profiter d’une nature enchanteresse et d’un séjour en tête-à-tête avec elle-même… et un charmant photographe voyageur. Loin du rythme effréné de son quotidien, Julie retrouvera-t-elle la candeur de ses vingt ans ? Parviendra-t-elle à réinventer, cette fois, sa propre réalité ?
L’univers de Constance Prévost, Amélie Vallée
Un Américain à tout prix, Alexandra Roy
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Pour avoir une chance de remporter l’un de ces lots, participez à #VendrediLecture sur Twitter, Facebook ou Instagram.
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Aucune participation en commentaire de cet article ne sera prise en compte.
TIRAGE AU SORT DU 12 JUILLET 2022
Voici la liste de nos heureux gagnants
Les domestiques de Berthier, Monique Turcotte (2 tomes) | |
Monique Gervais Pers | fb |
Le grand magasin, Marylène Pion (3 tomes) | |
@gobilab | tw |
Le bonheur des autres, Richard Gougeon (3 tomes) | |
Christel Klinkenberg | fb |
La maîtresse d’école, Ismène Toussaint (2 tomes) | |
Cinqcentdix Mois | fb |
Les filles de joie – Tome 1 :fb Le magnolia, Lise Antunes Simoes | |
Marie-Hélène Lafond | fb |
Celle qui revient de loin, Monique Turcotte | |
@calameo | tw |
Les belles fermières, Marjolaine Bouchard | |
@hiatusse | tw |
Je préfère qu’on soit amants, Sylvie G. | |
@bumaine | tw |
Je n’ai plus 20 ans… et alors ?, Isabelle Petit | |
@ericlabrosse01 | tw |
L’univers de Constance Prévost, Amélie Vallée | |
Vanessa Wald | fb |
Un Américain à tout prix, Alexandra Roy | |
Cathy Bou | fb |
Envoyez votre adresse mail à cadeaux@vendredilecture.com avant le 17 juillet 2022.
TIRAGE AU SORT DE LA SECONDE CHANCE DU 21 JUILLET 2022
Nos gagnants de la seconde chance, envoyez votre adresse mail à cadeaux@vendredilecture.com avant le 26 juillet 2022
Celle qui revient de loin, Monique Turcotte |
@jeremyWulc |
Je n’ai plus 20 ans… et alors ?, Isabelle Petit |
@avalyn_w |
Un Américain à tout prix, Alexandra Roy |
@Aveclamaingauc1 |