Bonjour,
ça y est, le 15 août est passé. On a officiellement le droit de parler de rentrée ! Vous aurez remarqué que chez VendrediLecture, on est pas du genre à attendre les autorisations puisqu’avec nous la rentrée littéraire a déjà commencé depuis le début du mois !
Cette semaine, notre premier partenaire est Stock, qui après L’Eveil de Line Papin, vous propose de découvrir 2 autres nouveautés.
L’indolente
—
Françoise Cloarec
Qui est Marthe Bonnard ? Toujours jeune, souvent nue, on la voit sur les toiles des plus beaux musées du monde, pourtant elle reste mystérieuse. Elle se dissimule dans la lumière du peintre Pierre Bonnard, avec qui elle partage sa vie entre 1893 et 1942. Durant cette période, le couple voyage beaucoup, au rythme de la santé fragile de Marthe, et noue des amitiés dans le monde de l’art – Monet, Vuillard, Signac, Matisse… Derrière les couleurs, le « peintre du bonheur » cache ses fantômes et ceux de sa femme. Ensemble ils n’auront pas d’enfant, mais ils feront une oeuvre. À la mort de Pierre, veuf depuis cinq ans, leur histoire d’amour déclenchera une affaire judiciaire retentissante, émaillée de divers rebondissements. Car l’orpheline qui se disait être Marthe de Méligny avait une famille et un autre nom.
Au commencement du septième jour
—
Luc Lang
4 h du matin, dans une belle maison à l’orée du bois de Vincennes, le téléphone sonne. Thomas, 37 ans, informaticien, père de deux jeunes enfants, apprend par un appel de la gendarmerie que sa femme vient d’avoir un très grave accident, sur une route où elle n’aurait pas dû se trouver. Commence une enquête sans répit alors que Camille lutte entre la vie et la mort. Puis une quête durant laquelle chacun des rôles qu’il incarne : époux, père, fils et frère devient un combat. Jour après jour, il découvre des secrets de famille qui sont autant d’abîmes sous ses pas.
De Paris au Havre, des Pyrénées à l’Afrique noire, Thomas se trouve emporté par une course dans les tempêtes, une traversée des territoires intimes et des géographies lointaines. Un roman d’une ambition rare.
Retrouvez les Éditions Stock sur :
Notre second partenaire est les éditions de la Martinière qui vous propose 6 exemplaires d’Un ours qui danse de Vincent Jolit.
Un ours qui danse
—
Vincent Jolit
À Saint-Pétersbourg, dans les années 1900, Fiodor veut danser depuis qu’enfant, il a assisté au spectacle donné par un montreur d’ours. On l’en empêche ; il doit batailler. Lorsque arrivent Les Ballets russes, il croit avoir gagné son combat et avoir la vie pour danser. À New York, dans les années 1960, Franz danse. Il a quitté l’Allemagne pour danser. Il danse pour fuir des parents et un passé familial qu’il abhorre. Après quelques hésitations formelles – Postmodern dance ou pas ? –, il pense pouvoir se lancer dans la création chorégraphique pour tordre définitivement le cou à ses fantômes. À Toulon, dans les années 2000, Françoise devient veuve. C’est peut-être le moyen pour elle de mettre de côté une vie qu’elle a plus subie que vécue. Pour se changer les idées, on lui propose de danser. Oui, mais avec un pied mal fichu, ce n’est pas si simple. C’est presque impensable. Pourtant.
Un Ours qui danse, roman à trois temps, alterne les chapitres consacrés à chacun de ces êtres aux corps et aux âmes blessés, et puise dans la force des grandes sagas pour entraîner le lecteur des pirouettes de Fiodor aux postures de Franz, et de ces dernières aux pas hésitants de Françoise. Vincent Jolit nous raconte comment on peut échapper à son destin en jetant son corps dans la bataille, comment on peut se retrouver vraiment en coupant les liens qui nous entravaient, comment on peut cesser d’être spectateur de sa vie en se faisant danseur. Après la littérature et la musique, c’est avec la danse que Vincent Jolit poursuit sa réflexion romanesque sur les liens entre l’art et la vie.
Retrouvez les éditions de la Martinière sur
Et n’oubliez, il vous reste peu de temps pour participer à notre concours de l’été !