Bonjour à tous,
Cette semaine, que vous fassiez le pont ou non, VendrediLecture est là ! Et on n’est pas tous seuls puisque ce sont 2 partenaires qui nous accompagnent cette semaine : Presses de la cité et les éditions À Propos.
Presses de la cité vous propose 5 exemplaires de Conversation avec mon chat d’Edouardo Jauregui
Sara a presque quarante ans et des tas de problèmes… jusqu’au jour où elle rencontre un chat qui parle. Chaque matin, Sara se réveille avec la nausée. Enceinte ? Impossible, cela fait bien trop longtemps que son compagnon ne l’a pas approchée. Surmenée ? Plus probable. D’ailleurs, le matin même où elle doit présenter un dossier important au travail, elle se met à avoir des hallucinations : Sybille, un drôle de chat abyssin, vient frapper à sa fenêtre et lui parle. Et pas pour dire n’importe quoi ! L’animal lui pose des questions étonnamment sensées : est-elle vraiment heureuse ? Qu’attend-elle de la vie ? La psychatnalysecommence ! Par le biais de Sybille, l’auteur, spécialiste en psychologie positive, transmet au lecteur les outils qui lui permettront, à son tour, de mettre au repos un esprit trop souvent en ébullition : faire le vide en se basant sur son propre souffle, retrouver une attention au monde et à soi, entraîner son esprit pour qu’il ne soit plus dominé par les pensées négatives, apprendre à se concentrer sur le moment présent, sur ce qu’on possède et non ce qui nous manque, pour ne plus subir mais devenir acteur de sa propre vie. Une vie pleine et heureuse.
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Les éditions A propos publient des ouvrages pour les curieux d’art et vous proposent 4 exemplaires de chacun des 2 ouvrages suivants :
Le Douanier Rousseau, naïf ou moderne ? par Isabelle Cahn
Le Douanier Rousseau, fonctionnaire devenu peintre sur le tard, exprima au travers de sa peinture une vision très personnelle. Auteur de jungles exotiques sans avoir jamais voyagé, de portraits d’un genre nouveau , de tableaux visionnaires, il semblait s’entêter à dérouter ses contemporains et …au risque de tomber dans l’oubli. Pourtant, vers la fin de sa vie, il suscita l’admiration d’artistes de l’avant-garde, alors peu connus, notamment Apollinaire et Picasso. Cette peinture « naïve » allait désormais nourrir l’imaginaire de certains grands maîtres du XXe siècle.
Isabelle Cahn, historienne de l’art, chargée d’études documentaires au musée d’Orsay, a participé à l’organisation d’expositions et publié des ouvrages sur plusieurs artistes de la seconde moitié du XIXe siècle : Manet, Renoir, Gauguin, les Nabis, Cézanne.
Cet ouvrage est à feuilleter ici
Eugène Boudin, la magie de l’air et de l’eau par Anne-Marie Bergeret-Gourbin et Laurent Manoeuvre
« Ce fut tout à coup comme un voile qui se déchire : j’avais compris, j’avais saisi ce que pouvait être la peinture » : tels sont les mots de Claude Monet évoquant au soir de sa vie sa découverte à 16 ans, grâce à Eugène Boudin, de la peinture en plein air. Alors que dans les années 1860 le jury du Salon officiel n’a d’yeux que pour l’art académique, Boudin s’engage dans une autre voie. Observateur attentif des phénomènes atmosphériques, il cherche sans relâche à rendre compte de l’immensité des ciels en bord de mer et à traduire les impressions fugitives du paysage – ce qui en fait sans conteste le précurseur de l’impressionnisme. Installé de longues heures sur la plage ou le port, par tous les temps, en Normandie comme en Bretagne, le peintre restitue sur la toile le passage d’un nuage, le ciel changeant sous l’effet du vent et de la marée, l’évanescence de la lumière… De « prodigieuses magies de l’air et de l’eau » écrivait Charles Baudelaire.
Cet ouvrage est à feuilleter ici