Bonsoir,
ca y est l’automne est bien là et vous pouvez ressortir la couette ! Cette semaine, pour vous aider à passer le cap du changement d’heure, on vous offre de l’amour et du bonheur !
Notre premier partenaire est les éditions Fortuna avec Lettre d’amour à mon chien de Christine Lamoureux. On vous en avait déjà parlé dans un article sponsorisé cet été !
Quelle est la nature de l’attachement d’un humain à un animal ? Pour la première fois, ce livre nous offre l’occasion de comprendre ce qui se joue. A travers deux drames, la mort de son mari, puis la mort de son chien, l’auteur décrit sans limite les joies et les douleurs de ces liens. Au-delà du langage, ce témoignage éclaire d’une vérité nouvelle ce qui se cache dans nos « passions ». Il libère de tout jugement face à ceux qui « adorent » leur chien et efface les inutiles tentatives de comparaison. Dans un style original, Christine Lamoureux nous offre un moment d’émotion rare et puissant. Voici une petite vidéo pour présenter l’objet de ce livre :
Vous pouvez retrouver toutes les informations sur le livre sur le site de l’auteur ou son compte Facebook et la page Amazon du livre .
Notre second partenaire est Audiolib qui vous fait découvrir ses livres audios de la rentrée !
Le premier ouvrage est Trop de bonheur de Alice Munro, lu par Amira Casar
« Sur le quai de la gare, un chat noir croise obliquement leur chemin. Elle déteste les chats. Plus encore les chats noirs. Mais elle ne dit rien et réprime un frisson. Comme pour récompenser cette retenue, il annonce qu’il fera le voyage avec elle jusqu’à Cannes, si elle le veut bien. C’est à peine si elle peut répondre tant elle éprouve de gratitude. » Les personnages d’Alice Munro courent après le bonheur. Quête vaine, éperdue, étourdissante, mais qu’ils poursuivent sans relâche. Dans ce recueil de nouvelles, on croise une étudiante qui accepte les propositions indécentes d’un vieillard, une mère en deuil qui change d’identité ou une femme affrontant enfin sa part de cruauté. D’une écriture précise et sensible, Alice Munro met en évidence les lignes de force invisibles guidant chaque destin. L’interprétation d’Amira Casar ajoute son contrepoint aux paysages intérieurs de chaque personnage et fait affleurer la part énigmatique de toute conduite humaine.
Le second est le le dernier Beigbeder, lu par Edouard Baer, Oona et Salinger
« Il arrive un moment, dans certains pays, à certaines époques, où les hommes semblent attendre un événement important et tragique qui permettrait de résoudre tous les problèmes. Ces périodes sont généralement nommées : avantguerre. Elles sont assez mal choisies pour tomber amoureux. En 1940, à New York, un écrivain débutant nommé Jerry Salinger, vingt et un ans, rencontre Oona O’Neill, quinze ans, la fille du plus grand dramaturge américain. Leur idylle ne commencera vraiment que l’été suivant… quelques mois avant Pearl Harbor. Début 1942, Salinger est appelé pour combattre en Europe et Oona part tenter sa chance à Hollywood. Ils ne se marièrent jamais et n’eurent aucun enfant. » F.B.
Et enfin, le dernier Haruki Murakami, L’Incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage, lu par Bernard Gabay
Tsukuru Tazaki vit à Tokyo. Architecte, il dessine des gares. Quand il rencontre Sara, un déclic se produit : il lui avoue la blessure qui le hante depuis son départ de Nagoya, seize ans plus tôt. Au lycée, il faisait partie d’une bande où chacun de ses quatre amis avait dans son nom un idéogramme associé à une couleur. Lui non : une identité « incolore » en quelque sorte. Alors, quand ses amis restés à Nagoya ont coupé les ponts sans explication, Tsukuru a vécu cette rupture comme une forme de mort annoncée. Aujourd’hui, Sara l’incite à les retrouver pour vaincre ce sentiment d’inexistence qui le ronge. Du Japon à la Finlande, « l’incolore » se confrontera à chacun d’eux. Un pèlerinage entre passé et présent à la recherche d’une vérité autant souhaitée que redoutée.