Demain, c’est un nouveau partenaire qui nous accompagne et vous ouvre les portes de son catalogue. VendrediLecture se réjouit de vous faire découvrir Les éditions des mots qui trottent, maison du Nord de la France.
Dans cette maison, ouverte à tous les talents, être un trotteur de mots c’est emprunter des pages, y ressentir le monde comme on le vit, l’univers comme on l’imagine, délivrer des émotions, susciter des interrogations, offrir des aventures, enquêter à tour de bras. C’est une envie et un plaisir.
Pour sa première fois, cet éditeur vous fait gagner 1 exemplaire de 5 titres de son catalogue. En avant pour les présentations !
Du Rêve et du Gras (double), Sylvain Facon
L’auteur vous emmène sur ses chemins d’écriture. Il vous a mis du rêve. Illusoire rebelle mélancolique vain délicat volatil.
Et puis du gras pour la consistance, de l’humour qui tache et laisse des traces.
Mais aussi du vrai. Tranchant. Sans fioritures.
Comme rien n’est dilué, il vous conseille à petite dose. Pour apprécier toutes les saveurs. Juste une page par jour, jusqu’à épuisement.
Dar Ke Bina, Mathilde Dehestru
A l’aube de l’indépendance du pays impulsée par le Mahatma Gandhi, Satyavati élève ses trois filles dans une Inde divisée. Elle entretient secrètement sa croyance profonde dans ce leader pacifiste. Alors que la jeune femme porte en elle cette lutte, elle se heurte aux réalités d’un pays ancré dans une tradition toute autre.
Des années plus tard, Abhaya se bat en mémoire de sa mère pour l’indépendance indienne, mais aussi et surtout, pour celle des femmes du pays. Ce roman raconte l’histoire de deux femmes confrontées à l’évolution de ce pays marqué par la fin de la deuxième guerre mondiale et la décolonisation britannique.
Les Miettes de Nous, Émilie Dhérin
Cri de haine, cri d’amour… Les familles possèdent dans leurs entrailles bien des méandres ténébreux et lugubres. Chacun tente de s’y trouver, de s’y projeter. En feu follet ou en plante verte ? Vivre ou survivre ?
Fracas d’amours et de violences… Souffles de vie qui tentent de se reconstruire… Dans cette mosaïque de destins brisés, mais suturés, une seule certitude : les larmes et le sang dans ton regard…
Des barreaux dans la tête, Cédric Tassis
Dans une quête où même Dieu et la Liberté sont concernés, chaque personnage a, ici, l’âme du guerrier et n’est pas seul à se sentir seul. Quelle que soit sa noirceur, il cherche la lumière. Il y a toujours un bout de ciel bleu si les têtes sont levées. Il y a toujours de l’espoir tant que le corps est en vie.
Chacun lutte contre l’ennui, cherche le bonheur, le frôle ou tente de l’apprivoiser. Chacun doit composer avec les aléas, les vicissitudes. Mais aussi ses propres limites, lesquelles ne sont parfois que (trop ?) personnelles et intérieures.
Alors j’écris, Dorothée Caille
Lorsque Meredith se réveille sur son lit d’hôpital à Londres, elle comprend que son quotidien ne sera jamais plus comme avant. Elle n’a que son frère, Martin, à qui se raccrocher. Seul élément stable dans sa vie depuis son plus jeune âge.
La nouvelle qu’il lui annonce est terrible : elle a perdu l’usage de la parole. En aidant Meredith à surmonter cette épreuve, Martin était loin d’imaginer qu’il s’attirerait de tels ennuis. La fratrie bascule alors dans un univers sans pitié où l’appât du gain justifie les moyens.
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